Depuis 2008, je consacre une partie de mon temps à la rédaction de romans de science-fiction. Cette activité vient en complément de mes recherches sur le rôle de cet imaginaire dans les processus d’innovation technologique, politique, et économique.
Le premier s’intitule Cosmoweb. Il s’intéresse à l’élaboration d’un réseau de télécommunication interplanétaire dans le système solaire, un cosmoweb, ou un internet spatial.
Le second se nomme Un virus martien (2013). Il décrit la contagion de l’espèce humaine par un virus ramené par une sonde chargée de rapporter des échantillons de roches martiennes sur Terre. Le virus transforme les humains en zombies ultraviolents, et nous assistons à la recherche d’un antidote à cette terrible maladie qui menace de décimer l’humanité.
Un troisième, intitulé La Nanoplanète (2021), traite de l’existence d’une civilisation extraterrestre s’étant développée à l’échelle nanométrique. La connexion de ces mondes invisibles à l’œil nu et détenteurs d’un pouvoir phénoménal dans l’univers constitue la cognition d’une créature gigantesque englobant l’univers.
Un quatrième roman, nommé Les Exohumains, devrait sortir en 2023. Il traite de la création d’entités artificielles capables de vivre dans l’espace, mais dont un des membres finit par se révolter contre l’autorité de l’armée française. Les Exhomumains, ses descendants, finiront par aider la France à vaincre l’ennemi Panslave.
Thomas Michaud 